Déclaration de Principes

1. Nous respectons toutes les religions, écoles, philosophies et sectes

—ainsi que leurs livres sacrés— puisqu'elles ont toutes les mêmes Principes Religieux ou Spirituels, ce qui change sont les formes religieuses.

Au lieu de se disputer pour les différences, nous cherchons ce qu’unit toutes les religions, écoles, philosophies et sectes.

Nous étudions les religions comparées et les respectons, même si nous avons des critères ou des formes religieuses différentes.

Alors, en ces temps du matérialisme le plus radical dont notre humanité a des nouvelles, nous disons plutôt: Les religieux au monde, unissez-vous!


2. Quelle beauté si tous les humains avaient une Religion!

Elles sont toutes des expressions bonnes et bénies de l'Amour de la Divinité, selon l’époque et le lieu.

Ce qui est triste, c’est de ne pas avoir de spiritualité, de ne pas avoir de Religion... C’est une vie très pénible et vide dans le fond, bien qu’on ait des choses vaines et transitoires...

Et pour ceux d'entre nous qui avons encore une Religion en ces temps de la super-modernité, vraiment les choses ont une valeur pauvre —matérielles et spirituelles aussi— derrière lesquelles nous allons et courons, car si chacun suivait sérieusement et du fond du cœur la Religion à laquelle il appartient —quoi qu’elle soit— il y aurait la paix la plus absolue sur la face de la terre...

Et nous parlerions familièrement avec les anges, dévas, dieux, génies, ou comme on veuille les nommer dans les différentes religions, avec les Hiérarchies Divines sacrées qui servent au Très-Haut et qui, dans notre tradition judéo-chrétienne, sont les bénis anges, archanges, principautés, vertus, puissances, dominations, trônes, chérubins, séraphins, etc.


3. Nous reconnaissons fermement que le Christ est Cosmique, Sacré et Universel, et qu'il peut avoir plusieurs Noms Vénérables dans les différentes cultures...

Et que c’est notre très grand devoir —et notre droit— de l’incarner au-dedans de chacun de nous, afin que Lui et son Père bien-aimé puissent parvenir à nous pour y faire leur demeure... Amen.

C'est pourquoi le béni Apôtre Paul, notre Seigneur, dit qu'il est dans les douleurs de l’enfantement pour que le Christ soit formé en nous (Galates 4:19).

Car il est inutile qu’Il soit né à Bethléem, si le Christ ne naît pas dans nos cœurs... Si nous ne le formons pas en nous-mêmes, si nous ne l'incarnons pas après avoir nettoyé notre étable, regorgeant des animaux symboliques...


4. Nous suivons fidèlement et de tout cœur sa très lumineuse manifestation en tant que JÉSUS-CHRIST —Jeshoua le béni— qui nous aime tous, bons et mauvais de la même façon, et qui n’est venu appeler les justes, mais nous les pécheurs, à la repentance...

Et en plus, il nous a généreusement fait connaître les Mystères du Royaume des Cieux... Mystères Sacrés que nous devons vénérer et respecter... Amen.


5. Nous recherchons le Royaume de Dieu et sa Justice, et nous devons la faire partie de chacun de nous, car le bon juge de sa maison commence...

Celui qui suit la Loi et les prophètes accomplit la volonté du Père aussi bien sur la terre qu’au ciel...

Nous souhaitons de tout notre cœur que nous tous réussissions à incarner le Notre Père, dans le secret profond de notre Être... Amen.


6. Nous n’avons qu’un Pasteur, le Divin Rabbin de Galilée, Jeshoua le Béni, alors ici, il n‘y a que des diacres et des évêques —les seules autorités citées par notre bien-aimé Apôtre Paul (Tite, Timothée et Philippiens) —, et nous devons être tempérés, maris à une seule femme, respectueux de toutes les dames et de toute l'humanité, et nous n'avons pas besoin de connaître la Bible par cœur, mais d'accomplir ce qu'elle commande.

Un devoir correspondant, en ont nos très chères diaconesses et évêques de la Sagesse Paulinienne, comme la célèbre Phoebe (Romains 16 : 1 et 27), Diaconesse de l'église qui était à Cenchrées (Corinthe).

Notre béni Berger Céleste ne fait aucune distinction, il nous aime tous, bons et mauvais de la même façon, hommes et femmes, sans distinction d’âge, de sexe, de race, d’éducation, de condition sociale, de religion ou de croyance, etc.

Rappelons que dans cette religion chrétienne primitive de l'Apôtre Paul, les femmes participaient au rite, comme la célèbre Phoebe... En outre, toujours à la fin du quatrième siècle, les diaconesses ou prêtresses baptisaient, car il y avait de nombreuses ordonnances de l’époque qui interdisaient telle coutume religieuse.

De même, ce fut jusqu'au début du quatrième siècle, dans le concile d'Elvira (près de Grenade, ville éteinte aujourd'hui, en 306-308), que les prêtres furent interdits de prendre femme, ratifiant ainsi la prohibition dans plusieurs conciles de Tolède et d’autres qui le suivirent.

Mais au début, ce n’était pas ainsi, et le pôle féminin de Dieu était présent dans le Rite Chrétien Primitif ou Paulinien, appuyant le diacre ou le prêtre chrétien, tandis que dans la vieille Thora, la femme juive était toujours en galerie —séparée des hommes— et même son témoignage à l'audience n'était pas valable... de plus, elle restait sous la domination rigide du rabbin, son instituteur ou prêtre juif.

Notre bien-aimé Apôtre Paul, suivant le Christ et sa Nouvelle Thora, sa Nouvelle Loi, est le créateur des rites chrétiens —synthèse des mystères grecs et hébreux— et grâce à Lui, nous ne nous circoncisons pas ni ne restons pas non plus dans les synagogues, ni ne suivons pas les rigides formalités alimentaires de la Loi juive, selon l’ordre des nouveaux chrétiens “orthodoxes” de Jérusalem.

En outre, il est venu donner liberté et honneur à la femme, même lorsqu'il continuait d’appliquer de nombreuses règles formelles de l'époque —grecques et juives—, comme se couvrir la tête pendant le rite et d'autres mineures, mais la femme pouvait être Diaconesse et baptiser jusqu'à la fin du quatrième siècle, longtemps après l'interdiction des Rites Pauliniens (avec Diaconesse) et aussi l'interdiction du mariage des prêtres...

Dans la Nouvelle Thora Chrétienne, les sacrifices de sang ne sont pas permis non plus... Au contraire, notre bien-aimé Rabbin de Galilée a institué la sacrée Onction Chrétienne, où le pain et le vin sont bénis (Mathieu 26 : 26 et 27), au lieu d’ériger des autels de feu et des sacrifices d'agneaux, car le béni Super-Agneau Jésus-Christ, a déjà été sacrifié pour nous tous —humanité adultère et perverse— dans cet amer Shabbat de Pésaj, ou pâque juive, l'an 33... Et il a répandu ainsi ses atomes christiques sur toute l'humanité...

Il y a un Nouveau Testament = Il y a une Nouvelle Thora. Et bien que la vieille Thora soit respectée —les 10 commandements de La loi de Dieu donnés par Adonaï, par l'intermédiaire de Moïse—, et bien qu’un tilde de la Loi n’ait pas été modifié, toutefois, les formalités ou les règles externes ont été abandonnées, telles que la circoncision et les règles alimentaires, etc., car “je veux la miséricorde et pas le sacrifice”, et “un nouveau commandement que je vous donne, que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés”.

Que peut-il demander de plus un homme juste, un bon citoyen?


7. Nous ne faisons pas non plus de la Sagesse Chrétienne une affaire, et nous ne demandons pas ni n’exigeons des cotisations ni des dîmes... afin que notre gloire ne soit pas vaine, comme le dit notre bien-aimé Apôtre Paul (1e Corinthiens 9 : 15 et 1e Timothée 6:10) qui a toujours travaillé et a fait les travaux les plus humbles, comme il est écrit, et en suivant la Sagesse du Christ, il a toujours honoré Mathieu 8 : 20.

Ici, nous travaillons tous, et quiconque veut manger de l'autel, il peut manger les planches ou les pierres avec lesquelles il a été fabriqué.

Nous ne vendons en aucune manière des bouts de ciel en commodes mensualités, car les gens ne sont sauvés que grâce à leurs bonnes actions, leurs bonnes pensées et leurs bons sentiments...

La seule chose que nous demandons aimablement et exigeons est une conduite juste.

Mieux vaut donner en tant que dîmes de bonnes pensées, des prières et des louanges, rien que le 10% de notre temps quotidien, à partir du moment où nous nous réveillons jusqu’à ce que nous nous couchions...


8. Nous insistons : C’est notre devoir d'être un mari et un père exemplaires, un enfant exemplaire, un magnifique petit-enfant et un grand-père patriarcal...

Un citoyen modèle, respectueux de sa femme, des femmes des autres et des autres dévotes du Sentier. Mari d'une seule femme, humble, juste, tempéré, sacrifié pour l'humanité et non pas sacrifiant de celle-ci, etc. (1e Timothée 3)

Et corrélativement nos très appréciées dames chrétiennes, authentiques et justes, de la Sagesse Paulinienne.


9. En accomplissement de l'Évangile, nous ne tolérons décidément pas le manque de respect ni les abus envers les dévotes du Sentier, car les femmes doivent être respectées, et l'adultère ne doit, en aucun cas, être mystifié ou justifié, et nous éviterons ainsi la terrible réprimande de la 1e Corinthiens 5 : 1.

Nous ne sommes pas intéressés au porte-monnaie ni à la femme de qui que ce soit!

Nous rappelons toujours vivement les paroles du béni Apôtre:

“Fuyez la fornication. Tout autre péché que l’homme peut commettre est extérieur à son corps, mais celui qui pratique la fornication pèche contre son propre corps.

Comment ! Est-ce que vous ne savez pas que le corps que vous êtes est le temple de l’Esprit Saint au-dedans de vous et que vous avez de Dieu ? De plus, vous ne vous appartenez pas.” (1e Corinthiens 6 : 18-19)

Aussi, considérons-nous notre devoir le plus sacré, de respecter et aider les veuves et les orphelins de nos compagnons de ce Sentier Spirituel, et de demander abondamment pour eux et leurs droits —et pour toute l’humanité—, comme il est également écrit de longue date (Deutéronome 27:19).


10. Nous respectons également la bénie Mère du Rédempteur du Monde,

et nous n'acceptons pas de mots ni de raisonnements offensants contre Myriam, Marie, qu’elle soit réelle ou symbolique, ou bien, contre Maya, Isis, Freyja, Shakti, Tonantzin, Pachamama, Tonantzin, ou tout autre nom attribué à notre bénie Mère Divine, la Partie Féminine de Dieu... La Sacrée Épouse du Saint-Esprit, avec qui Elle crée tout ce qui est, a été et sera... Amen.


11. Nous la reconnaissons et vénérons profondément, en tant qu'enfants de notre Mère Universelle, de notre Mère Nature et de notre Mère Physique qui nous a amenés au monde et nous donne la bénédiction de la Vie... Amen.

Nous suivons de cœur le quatrième Commandement de la Loi de Dieu: “Honore ton père et ta mère [physiques et spirituels ou divins], afin que tu puisses vivre une longue vie sur la terre que le Seigneur, ton Dieu, te donne.” (Exode 20:12) ... Amen.


12. Nous prêchons d'exemple et cherchons à accomplir le Triple Chemin de Libération qui nous conduit au Christ:

“Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il se renie lui-même et qu'il prenne sa croix et me suive continuellement.” (Mathieu 16:24)... Amen.


13. Nous rejetons tout dogmatisme, fanatisme, hypocrisie, bigoterie, tartufferie, pharisaïsme, bavardage, culte à la personnalité, poses piétistes et feintes mansuétudes, ainsi que toutes ces histoires au nom du Christ ou du Bouddha, ou de tout autre Grand Être.

Bien que nous les respections en tant qu'humains, nous ne sommes pas intéressés aux pseudo-chrétiens, mythomanes ou pseudo-illuminés, seuls ou rassemblés (2e Corinthiens 11:13 et suivants), ni ne sommes intéressés non plus à nous disputer avec qui que ce soit.


14. Ici, nous ne menaçons pas —impensable— avec la Loi de Dieu ou la Loi du Karma, ni nous ne condamnons pas au Jugement Divin ceux qui quittent l'institution, ou s'ils ne donnent pas leurs dîmes et prémices, ou s'ils ne remplissent pas toutes les continues caprices des supérieurs...

Ici, nous ne nous faisons pas passer pour le Très-Haut ni ses Juges ineffables pour condamner les autres.

Nous ne voulons pas de maîtres et ne voulons pas non plus d'idolâtres de notre très humaine et imparfaite personnalité.

Nous respectons la dignité des personnes et la Loi, ainsi que nous l'ont enseigné nos grands-parents et celui qui reste ne gêne pas et celui qui part ne manque pas.

Nous avons un maximum de liberté dans un maximum d'ordre... Amen.


15. Nous évitons de nous mêler de la vie d’autrui (Mathieu 7:3-4),

car les défauts personnels doivent être éliminés par leurs possesseurs —et être remplacés par la vertu opposée que le Père nous donne— et ils ne doivent être répréhensibles qu'en toute prudence et discrétion, avec de l’honneur, comme le dit l’Apôtre (Romains 12:10), lorsqu’ils affectent l'ordre Institutionnel.


16. Quiconque souhaite avoir des symboles ou des images peut le faire, car les images des chérubins de l'Arche de l'Alliance sont très belles ainsi que tout l’ornement symbolique du Temple de Salomon...

La beauté de l'art sacré est une chose, tandis que l'idolâtrie en est une autre très différente, car beaucoup interdisent toutes sortes d'images et de crucifix, etc., mais ils idolâtrent le dieu Mammon —le puissant gentilhomme Don Argent— et exploitent l'humanité au lieu de la servir...

C’est pourquoi il le dit clairement aux Colossiens 3:5: “Faites donc mourir [réduisez] les membres de votre corps qui sont sur la terre [les appétences pécheresses], pour ce qui est de la fornication, de l’impureté, de l’appétit sexuel, du désir mauvais et de la convoitise, qui est une idolâtrie.”

D’autres, s’idolâtrent eux-mêmes et ils exigent que les autres les idolâtrent. Voilà les idoles vivantes aux pieds d’argile. Voilà la véritable idolâtrie de nos jours.

Par conséquent, Jéhovah le sacré, Adonaï Sabaoth, sera plus heureux si nous détruisons les idoles que nous portons à notre intérieur et vénérons et que nous les avons levés et érigés avec soin, que ce soit pour l'amour de soi, la vanité, l'orgueil, l'envie, la convoitise, la colère, la paresse, etc., et les statues et saintetés que nous avons faites avec notre auto-image, notre très égoïste et superbe et fausse personnalité.

L'idolâtrie combattue par le béni Apôtre —en plus de la cupidité— fait référence aux vénérations et aux sacrifices de sang aux idoles, une coutume très commune à l'époque, qui survit dans la "santeria" afro-américaine moderne, par exemple.

Et l'Apôtre considère comme une abomination de participer et de manger les offrandes alimentaires et les restes des sacrifices offerts aux idoles, appelé "théophage".

Malheureusement, les Juifs avaient aussi une telle coutume, seulement qu'ils sacrifiaient des animaux —puits, chèvres, agneaux, pigeons, etc.— au Dieu unique et invisible d'Israël, ainsi que ses symboles : étoile de David, menora, tables de la Loi, etc.

Notre bien-aimé Seigneur Jésus-Christ, a retiré cette coutume religieuse et a établi la bénédiction du pain et du vin, et Lui-même s'est sacrifié en tant qu'Agneau de Dieu qu’il est...


17. La formation du Christ en nous n'obéit pas à des règles formelles, externes et superficielles, fanatiques et pharisaïques, tartuffes et vénéneuses, dépourvues du bon sens, qui ont souvent une incidence sur notre saine coexistence sociale, en particulier avec les familles.

De nombreux admoniteurs et critiques ne fument pas une cigarette, ne boivent pas un verre et ne vont pas danser, ni ne coexistent pas socialement avec les gentils “impurs”, mais ils voient une femme passer et la déshabillent du regard..., et ils la convoitent et adultèrent avec elle dans leur cœur (Mathieu 5 : 28), et vice-versa les femmes, quand elles convoitent les hommes.

Cependant, “Jéhovah connaît les pensées des hommes, il sait qu’elles sont comme une vapeur.” (Psaume 94:11).

Le Christ —le béni Messie qui vient nous racheter intérieurement— se forme, incarne véritablement au-dedans de nous —hommes et femmes— pour la pureté de nos pensées, sentiments et actions; c'est-à-dire, en suivant fidèlement son Triple Chemin de Libération (Mathieu 16:24)... Amen.

Ainsi réalisons-nous à notre intérieur le miracle des noces de Canaan, en transformant l’eau simple de notre très humaine et imparfaite personnalité dans le vin sublime de la supraconscience de l’Esprit, et c’est ainsi que nous nous christifions, que nous formons le Christ au-dedans de nous, comme il nous invite à en faire —avec des douleurs de l’enfantement— notre bien-aimé Apôtre Paul.

Cette cristallisation ou formation du Christ en nous, se déroule au cours du chemin en faisant la vie —la plus rigoureuse de toutes les maitresses— avec une grande patience, comme il nous l’a enseigné l’Instructeur du Monde, Jeshoua le béni:

“Par votre endurance vous acquerrez vos âmes.” (Luc 21:19)... Amen.


18. Nous nous basons sur l'exemple, c'est pourquoi nous sommes un groupe chrétien de rectitude, de louange et de prière, de méditation profonde, d'étude sérieuse des textes chrétiens, de rites et de cérémonies blanches et de pratiques sincères de Charité Universelle...

Et nous ne sommes pas un simple club-social-religieux-chrétien de plus.

Nous comprenons que l’Enseignement profond, la sacrée Sagesse de l’Apôtre Paul, illuminera notre chemin vers le Christ de manière sérieuse, responsable et libératrice de nos fardeaux psychologiques, et nous donnera un désir sincère de servir à l’humanité avec de l’amour conscient.

Cette Charité Universelle est la plus exaltée des vertus (Romains 13 : 1 et suivants), et nous l’accomplissons avec joie en délivrant l'Enseignement du Christ sans rien attendre en retour...

Nous sommes des gens simples, respectueux du Christ, dont l’enseignement nous devons le faire chair et sang en nous-mêmes, ici et maintenant... Amen.


19. Nous sommes une congrégation sérieuse qui recherche l'auto-vigilance et l'autocorrection de nos pensées, sentiments et actions, car nous savons que l'ennemi secret est à l'extérieur... mais il est aussi à l'intérieur de nous, et nous devons le vaincre ! en nous reniant nous-mêmes, comme il est écrit.

Nous devons nier et détruire nos vices ou erreurs, ces péchés capitaux, ces démons que nous portons à l'intérieur et qui aigrissent nos vies personnellement et socialement, et offensent le Très-Haut, qui est également au-dedans de nous (1e Corinthiens 3:16).

Pour que notre Père qui est en secret puisse nous donner la beauté lumineuse des vertus opposées à de tels vices, ces lumières bénies de la conscience, et pour que nous soyons ainsi des Vases purs pour recevoir l'Esprit Universel de Vie...

En vérité, nous ne cherchons qu’à rendre heureux notre Père qui est en secret, par la pensée juste, le sentiment juste et l’action juste... Amen.


20. Dès l'aube du christianisme, les grands apôtres Pierre et Paul insistaient sur le fait que la correction sexuelle de l'individu était la clé de l’Enseignement:

“Car ce que Dieu veut c’est votre sanctification, que vous vous absteniez de la fornication ; que chacun de vous sache posséder son propre vase dans la sanctification et l’honneur ; et non dans l’appétit sexuel empreint de convoitise, tel qu’il existe aussi chez ces nations qui ne connaissent pas Dieu.” (1e Thessaloniciens 4:3-5)

“Vous les maris, de même, continuez à demeurer avec elles selon la connaissance, leur assignant de l’honneur comme à un vase plus faible, le vase féminin, puisque vous aussi, vous êtes avec elles héritiers de la faveur imméritée de la vie, afin que vos prières ne soient pas entravées.” (1e Pierre 3:7)

Et tel est notre béni devoir... que nous devons accomplir avec la —bénie aussi— continuité de propos en respectant sérieusement cette science amoureuse de l'Apôtre Pierre, qui honore la femme avec les règles substantielles du Lévitique 15 (2, 16, 18, 32 et 33), afin que la glorieuse Croix de notre Mariage Chrétien puisse fleurir, tel qu’a fleuri la houlette de Joseph en épousant Myriam... Amen.

Lien sacré, le Mariage Chrétien est une authentique Croix de Résurrection et il ne peut être dissout que lorsqu'il est autorisé par la Nouvelle Loi, la Nouvelle Thora Chrétienne (Mathieu 5 : 32 et 19 : 9), et non par l'ancienne Thora juive, qui permettait de répudier la femme pour une raison quelconque, en raison de la dureté de notre cœur, comme il est écrit.

Le Mariage Chrétien est en réalité la pierre que les bâtisseurs ont rejetée, celle qui est devenue la pierre angulaire de la Nouvelle Thora Chrétienne...

C’est pourquoi la stricte monogamie a été établie, obligatoire pour diacres et évêques (1e Timothée 3:2 et Tite 1:6)

Ce lien sacré, soutenu sur la bénie Pierre ointe de Jacob que les bâtisseurs ont rejetée, vient nous donner sagement —avec une grande pureté et une grande patience— la possession définitive de nos âmes, la formation du Christ en nous-mêmes...

C'est ainsi que les paroles du béni Apôtre Paul prennent vie dans la 1e Corinthiens 15:40 et suivants, puisque ses corps christiques, célestes ou spirituels se forment en nous peu à peu, de sorte que le corruptible puisse être revêtu de l’incorruptible, et le mortel soit revêtu d'immortalité... “Ceci est fait par le Seigneur, et c'est merveilleux à nos yeux !”... Amen.


21. Nous suivons le chemin du milieu, droit au centre —ni à droite ni à gauche— comme il est écrit (Proverbes 4:25-27), et nous essayons de marcher prudemment avec les deux pieds en traitant avec de la courtoisie et de la bonne volonté aussi bien les moutons que les chevreaux... (Philippiens 2:15)

Et surtout, en pardonnant à nos débiteurs —ceux contre qui, pleins de vengeance et rancune, nous disons : tu me la dois et alors, tu dois me la payer— afin que notre Père qui est au ciel puisse aussi pardonner nos péchés, bien plus graves que les fautes ou offenses de nos pauvres débiteurs...

Certainement, dans la mesure où nous pardonnions, nous serons pardonnés (Mathieu 6:14 et 15).


22. Nous reconnaissons les rites suivants : baptême, mariage et funérailles, ainsi que l’Agape —aussi appelé la messe— et la consécration des temples, diacres et évêques.

Toutes nos réunions, conventions et congrès doivent avoir lieu pour honorer la Divinité et rendre heureux notre Père qui est en secret et qui nous surveille minutieusement, et non pour faire des affaires ou faire briller la fausse personnalité de qui que ce soit.

Personnalités Divines uniquement celles d'un Jésus de Nazareth, d'un Moïse, d'un Krishna en Inde, d'un Bouddha, d'un Zoroastre, d'un Lao Tse, d'un Quetzalcoatl, d'un Viracocha, etc., véritables expressions ou incarnations de la Divinité Cosmique Universelle, dont le Nom est inconnu, est imprononçable... parce que Lui seul le sait, c'est pourquoi Lui c’est Lui, comme il est écrit.

Ces incarnations divines sont pour rappeler à cette génération adultère et perverse —qui continue de demander un signal— son chemin erré et le dénouement fatal de son auto-agression en tant qu'espèce...

Alors, nous vénérons profondément toutes les manifestations du Très-Haut, quels que soient le temps et le lieu, et nous suivons fidèlement sa plus grande manifestation en l’humble personne —sans diplômes ni argent, comme toujours— de Jeshoua le Béni, notre Seigneur bien-aimé Jésus-Christ.

Par conséquent, nos Temples doivent être de véritables académies chrétiennes, des centres d’enseignement de normalité et de tranquillité psychologique, de louange et de prière... Des Temples de véritable Liturgie Christique... Amen.


23. Nous rejetons expressément les doctrines de l'erreur, ainsi que l'interprétation tordue —très convenable à la ruse— des Romains 3:24, 11:6, 9:32, etc., où, selon cela, seule la foi suffit et les œuvres de la Loi ne sont pas nécessaires, parce que la seule foi en Christ le pardonne tout, même lorsque nous faisons de mauvaises —très mauvaises— “œuvres”.

Ils disent que comme Il est tout amour —oui, mais l’amour conscient, avec équité et justice, dans le respect de la Loi du Père— Il le pardonne tout, mais tout, tout, absolument tout...

Cependant, autant que nous le voudrions, la vie nous enseigne que tous les enfants ont leurs limites devant leurs parents, surtout, quand on offense le Père ou la Loi du Père.

Avec cette interprétation tordue, sous ce prétexte, beaucoup tolèrent les autres et se tolèrent eux-mêmes dans leurs récidives, et s'auto-exonèrent et auto- pardonnent eux-mêmes —avant ou après— toute culpabilité ou tout péché...

C’est-à-dire que, selon ce tordu critère, le Christ est un complice et pardonne en même temps tous nos péchés...

Ce n'est pas vrai, puisque le béni Apôtre Paul fait référence à la circoncision juive, à l’”œuvre” externe ou à la formalité énoncée dans la Thora, la Loi juive, ainsi qu'à d'autres “œuvres de la Loi”, telles que les règles alimentaires.

Cette “œuvre de la loi juive”, voulaient l’imposer depuis Jérusalem les soi-disant orthodoxes, comme condition préalable pour devenir chrétiens : d’abord, juifs et circoncis, puis, chrétiens. (Actes: 15:1 et 2)

Critère ou ordonnance qui est combattue dans toute l'Épître aux Romains en tant qu’”œuvre de la loi”, pour les raisons très justes y exposées.

Et de toute évidence, le béni Apôtre n’est pas complaisant à l'égard du délit ni ne justifie le péché sous prétexte que seule la foi suffit...


24. Au contraire, nous nous approprions des paroles ardentes du Treizième Apôtre, notre bien-aimé Seigneur Paul de Tarse, dites dans cette même et identique épître:

“Mais, selon ta dureté et selon ton cœur sans repentance, tu amasses [accumules] pour toit du courroux au jour du courroux et de la révélation du juste jugement de Dieu. Et il rendra à chacun selon ses œuvres.” (Romains 2:5 et 6)

Il ne dit pas selon sa foi, ou que la foi suffise, mais selon ses œuvres.

Par conséquent, selon l'interprétation systématique de cette Épître, il est très clair que chacun paie selon ses œuvres. Cela est confirmé dans la 2e Corinthiens 11:15 et la 2e à Timothée 4:14.

Alors, la foi seule ne suffit pas, mais nous devons montrer notre sincère repentance, en particulier, à travers nos bonnes œuvres, en faisant un réel effort pour nous corriger.

Afin d’atteindre de cette manière la miséricorde —le béni et si ardent pardon d’Iehou— tel qui est ratifié à l’Épître de Jacques (2:17), comme il est écrit.

La foi nous sauve dans la mesure où elle favorise l'accomplissement de bonnes œuvres, en nous libérant du poids énorme de nos dettes envers la Justice Divine pour nos actions passées —et présentes— et nos omissions...

Bénie soit la Foi et béni l'Espoir, et bénie —très bénie— la Charité !... Amen.


25. Il est également écrit avec des lettres de feu vivant:

“Car il n’est pas juif celui qui l’est au-dehors [les apparences et fanatismes, les interdictions et lourds fardeaux, les bigoteries et tartufferies, les coups de poitrine et réprimandes et condamnations, les poses pieuses et feintes mansuétudes, etc.], et ce n’est pas circoncision celle qui l’'est au-dehors dans la chair:

Mais il est Juif [ou vrai chrétien] celui qui l’est au-dedans, et sa circoncision, celle du cœur par l’esprit, et non par un code écrit. La louange de celui-là vient [du vrai chrétien] non des hommes [flatteurs], mais de Dieu.” (Romains 2:28 et 29).


26. Et en plus, aussi avec des lettres allumées, il est écrit, directement par la propre main de l'Apôtre Paul:

“L’enseignant des gens déraisonnables, l’enseignant des tout-petits, possédant dans la Loi l’armature de la connaissance et de la vérité...

Toi donc, celui qui enseigne autrui, tu ne t'enseignes pas toi-même?

Toi, celui qui prêche “Ne vole pas”, tu voles?

Toi, celui qui dit “Ne commets pas d’adultère”, tu commets l’adultère?

Toi, celui qui manifeste son horreur des idoles, tu pilles les temples?

Toi qui tires orgueil de la Loi [qui connait la Bible par cœur], tu déshonores Dieu en transgressant la Loi ?” (Romains 2:20-23)


27. Le bienaimé Apôtre Paul postule que l'Esprit est reçu par la Foi. C'est autant que de lui tracer un chemin, une voie de communication par la Foi, pour que l'Esprit soit «reçu» en nous.

Et nous sommes tout à fait d'accord, seulement que cette voie de communication l’est aussi par ses vertus sœurs, l'Espérance et la Charité, et pas seulement par la Foi (1 Corinthiens 13 :13).

Nous ne pouvons pas «enfermer» l'Esprit de Dieu avec nos pauvres concepts humains, avec nos limitations physiques, psychiques et spirituelles.

Nous reconnaissons que l'Esprit est reçu par la Foi, mais il est aussi reçu, au même degré, par l'Espérance et la Charité. Certes, de la même manière «la réception de l'Esprit» se produit, avec toutes les —Trois— vertus que le bienheureux Apôtre exalte...

À travers chacune de ces vertus bénignes, l'Esprit peut être reçu. De plus, «il faut» recevoir l'Esprit, harmoniquement pour chacune des trois vertus.

Et bien que l'Esprit soit également reçu par les Trois vertus très bénies, l'Apôtre Paul élève, cependant, la Charité comme la plus grande d'entre elles. Ergo, la voie pour recevoir l'Esprit par la Charité a une plus grande «possibilité de service» à la volonté éternelle de Dieu de veiller sur ses créatures...

Par conséquent: Si par la simple Foi nous allons obtenir le salut, même au-dessus des «œuvres de la loi», en supposant sans concéder qu'on entend aussi par-là la Loi des Dix Commandements, c'est-à-dire, les Normes Morales Supérieures.

Et si l'Apôtre Paul dit que la Charité est la plus grande des vertus, y compris la Foi, alors nous ferions mieux d'interpréter que PAR LA CHARITÉ SEULE le salut est également atteint...

«Si j'avais toute la foi, de sorte d’aller au-delà des montagnes, et je n'ai pas de charité, je ne suis rien.

La charité ne cesse jamais d'être: mais les prophéties devront cesser, et les langues cesseront, et la science doit être supprimée.» (1e Corinthiens-13:2 et 8).

On accomplit bien plus —en tant que simple apprenti de chrétien— avec la bénie charité, au-dessus des œuvres de la loi, et aussi de la Foi et de l'Espérance, puisqu'elles sont subordonnées à la Charité, la sœur aînée.

Si l'étude et l'accomplissement des Écritures sont pour toute bonne œuvre, comme le dit le bienheureux Apôtre à son disciple bien-aimé Timothée (2 Timothée 3:14-17), alors, agissons avec justice, avec charité, laquelle s’exprime toujours en bonnes œuvres... qui dignifient le cœur droit et bon (Luc 8:15)...

Et interprétons avec une grande charité —comme une très bonne œuvre qu'elle est— la Sainte Bible.

Servons le Père avec l'ardeur bénie et la bonne volonté de la CHARITÉ, QUI ÉQUILIBRE LES POSTURES DE SOLA FIDE ET DES BONNES ŒUVRES, dont parle aussi l'Apôtre Jacques, puisque la Charité nous aime tous, sans distinction ni discrimination; de plus, «l'accomplissement de la loi, c'est la charité» (Romains 13:7-10).

La Charité va de pair avec la Foi, la Loi et la bienheureuse Espérance, avec le regard toujours fixé sur la réalisation de la Miséricorde du Christ et de son Père céleste.


28. En tant que très vrais et authentiques protestants ou évangéliques que nous essayons d'être, nous recherchons toujours la réforme de nos personnes devant le Seigneur.

Et, par conséquent, l'indépendance et la libération de l'enseignement dogmatique traditionnel que nous avons reçu des catholiques orthodoxes, et maintenant, aussi, de nombreux protestants ou évangéliques dogmatisés.

Ainsi, dans cette recherche ou acquisition de la Réforme Intérieure, de notre indépendance pour adorer le Seigneur, proposée par l'Apôtre Paul et notre chef suprême Jésus de Nazareth —l'Oint, le Christos—, nous postulons avec joie:

Que les Cinq Solas, ainsi que les Solas «Opéra» et «Lex» catholiques —ou comme on voudra les appeler—, toutes sont harmonisées avec la Charité et l'Amour suprême de Dieu et du Prochain.

De même, nous postulons fermement et sereinement que la Sola Charité (6ème Sola), à elle seule, est un chemin supersubstantiel pour atteindre le salut, l'illumination et la joie ineffable de retourner dans le Sein du Tout-Puissant, du Tout-Miséricordieux.

De la même manière, nous postulons fermement et sereinement que l'Amour de Dieu et du Prochain (7ème Sola), uniquement et par elle-même, est un chemin supersubstantiel pour atteindre le salut, l'illumination et la joie ineffable de retourner dans le Sein du Tout-Puissant, du Tout-Miséricordieux.

Cette vertu d'Amour de Dieu et du prochain, allume le feu de la Charité et les autres vertus...

Les Cinq Solas ne devraient plus être si seules, mais très bien accompagnées, car la fraternité protestante n'est plus «si seule» qu'en ces temps si amers, quand elle a été combattue avec le sang et le feu...

Par conséquent, elle n'est plus si «seule», puisqu'il y a des Églises Évangéliques partout dans le monde... C’est pourquoi nous proposons aimablement d’accompagner notre fraternité Protestante ou Évangélique avec ces nouvelles Solas : la Charité (6ème) et l’Amour de Dieu et du prochain (7ème).

29. Avec le même esprit de libération de l'enseignement dogmatique traditionnel, nous déclarons emphatiquement que, dans le Tanaj hébreu ou Ancien Testament, nous pouvons distinguer deux Jéhovas: l'un qui ordonne TU NE TUERAS PAS et l'autre qui ordonne de TUER, et il dit même —à plusieurs reprises— qu'il punira le désobéissant par la mort et ordonne de TUER même ses frères, amis et parents.

Ce pseudo-Jéhova qui ordonne des meurtres systématiquement, voire des génocides, et se complaît à verser du sang sur son autel, est celui qui apparaît le plus fréquemment cité dans l'Ancien Testament, exigeant ses multiples Korban (holocaustes et sacrifices sanglants) et des massacres des familles et des villages entiers de l'ennemi, y compris leurs bêtes ou animaux (1 Samuel 15:2-3).

C'est une totale contradiction logique, théologique et téléologique, que «le même Jéhovah-Dieu» ordonne d'abord au peuple d'Israël de TU NE TUERAS PAS, et immédiatement après, il ordonne au même peuple de TUER ses frères, amis et parents, et qu’il les «bénisse» pour ces actes criminels, homicides et génocidaires (Exode 32:26-29).

Et qu’il continue à ordonner —à plusieurs reprises— dans le Tanaj ou l'Ancien Testament, de tuer des hommes et des femmes, des enfants et des bébés, des vaches et des moutons, des chameaux et des ânes...

C'est la cause ou la raison pour laquelle nous n'acceptons PAS que tout ce qui est écrit dans la Bible soit la parole de Dieu.

Quel genre de Dieu est-il, qui non seulement est complaisant avec le crime d'homicide ou meurtre, mais il le promeut et l'ordonne également?

Nous savons que beaucoup vont déchirer leurs vêtements jusqu'à la consommation des siècles, car nous mettons en évidence ce pseudo-Jéhova, qui est, en réalité, un produit des «doctrines et commandements des hommes», faussement attribués au vrai et vrai IEHOVA-Adonay-Sabaoth, comme s'ils étaient sortis de sa bénie bouche...

Comme en témoignent également Isaïe le prophète (14:12-21 et 30:9-11) et notre Seigneur le Christ (Matthieu 15:3-9 et 19:8).

Mais nous, en tant qu'aspirants à chrétiens pauliniens qui cherchent à être, honorons nos vêtements de la Vérité du Christ, dont nous sommes revêtus depuis notre baptême (Galates 3:27).

Et nous n'allons pas renier la Vérité en couvrant, en cachant et en tolérant les adultérations homicides de la Loi Authentique, celle «du Début», avec ses Dix Commandements inclus.

Falsifications clairement exprimées dans les textes de l'Ancien Testament…, et y sont parfaitement écrites et décrites —abondamment— les multiples évidences de nos paroles.

30. Nous sommes une Église Chrétienne Juste, à la Sagesse Paulinienne Authentique, qui ne tord pas les paroles du Treizième Apôtre.

Et nous vénérons et louons avec une grande sincérité le Christ bienfaiteur, manifesté ou exprimé lumineusement à travers le Cœur et la Sagesse du “plus jeune” de ses Apôtres:

Paulus, du latin paucus, “peu, petit”: Paul, nom d'humilité devant le Seigneur (1e Corinthiens 15:9 et Éphésiens 3:8).

Qui nous a donné le plus grand exemple de correction, parce qu’il a tout d’abord nié et persécuté le Fils du Seigneur des Armées —Iehoua Sabaoth— puis, il l’a loué et a prêché jusqu’à la fin de ses jours, quand il est mort décapité dans la joie à cause du crime de servir le Béni Verbe...

Mais, nous menons tous un Paul de Tarse à l'intérieur de nous ! À l'ombre de notre Être... C'est une partie des Hiérarchies que dans notre intérieur en a le Très Haut... LUI... CELUI qui réside aussi à l'intérieur de nous, comme il est écrit (1e Corinthiens 3:16).

Initions une Nouvelle Ère Paulinienne, où l'amour et la grâce du Christ s'expriment par le biais de notre Apôtre Paul personnel, individuel...

Qui est toujours en train de lutter internement —et avec un grand courage— pour notre tant attendu salut... Amen.


31. De tout notre cœur, nous souhaitons atteindre la Paix du Christ en développant la volonté et la bonne volonté, comme il est écrit (Luc 2:14).

Nous savons que nous n’avons que des étincelles de bonheur véritable dans la vie, mais la paix, nous pouvons la conquérir en louant le Dieu des hauteurs et en recherchant la paix sur la terre en tant qu’hommes de bonne volonté... Amen.

Combien de fois avons-nous loué le Dieu du ciel et recherché la paix du Christ pendant la journée?

Le jour a vaincu sur nous, ou nous avons vaincu sur le jour?


32. Nous ne souhaitons que le bien à toute l'humanité souffrante, même si elle paie mal…

C'est pourquoi l'humanité a mal, car elle paie mal et s'éloigne de son Créateur.

Et avec une très bonne volonté nous essayons de la servir, comme l'a fait le Divin Rabbin de Galilée, JESHOUA LE BÉNI, notre plus grand Chef Spirituel, dont le Nom —Verbe— nous ne nous fatiguerons jamais de louer... Amen.


33. Avec sincérité et de tout notre cœur, nous postulons le merveilleux Enseignement du Christ Immortel:

“Celui qui a mes commandements et qui les observe, c'est celui-là qui m'aime. Et celui qui m'aime sera aimé de mon Père, et moi, je l'aimerai et je me montrerai à lui distinctement.

Si quelqu’un m'aime il observera ma parole, et mon Père l'aimera, et nous viendrons à lui, et nous ferons chez lui notre demeure.” (Jean 14:21 et 23)

Amen! Amen! Amen!